Chasseuse de Hunters, doux pléonasme...

Nom : Celui que m'a légué mon crét*n de père, Amaranth...

Prénom : Celui offert par l'imagination débordante de mon id*ote de mère, Nymphadora...

Âge : 20 années toutes rondes à faire ch*er mon monde, les suivantes seront consacrées à vous faire ch*er, vous.

Apparence, signes distinctifs : … Vous voulez que... je me décrive physiquement, c'est ça ?... *éclate d'un rire glacial et méprisant* Très bien, je vais vous faire ça alors, puisque ça à l'air de vous tenir à cœur... (il en faut vraiment, mais alors vraiment peu pour être heureux). Au premier abord, je ne suis pas bien grande – le métrage exact, vous ne l'aurez pas puisque moi-même je ne le connais pas et je m'en fou à un point qui dépasse sûrement votre entendement – mais comme je suis de toute façon en permanence juchée sur des chaussures à talons compensés, j'atteins au final une taille bien suffisante pour vous regarder de haut tous autant que vous êtes. Je suis ensuite d'une corpulence excessivement fine due à une constitution, à mon plus grand désarroi, assez... faible. Mais le peu que j'ai est, encore heureux, relativement bien placé, en particulier au niveau de mon tour de poitrine. Pour essayer de remédier un maximum aux erreurs de la nature, je m'astreins à un régime d'exercices très stricts qui m'ont donc conférés une solide musculature, et je compense parfaitement mon manque de force et d'endurance par une rapidité et une souplesse dont je ne suis pas peu fière. Je possède un visage triangulaire aux traits fins et anguleux non dénués d'une certaine beauté, à la peau d'une blancheur nacré, et mon plus grand atout est sans aucun doute mes grands yeux en amande, mangeant une bonne partie de mon visage aux pommettes hautes et aux joues creuses, bordés d'un plumeau de longs cils noirs, écrins de mes prunelles hautaines cerclés d'iris d'un scandaleux bleu océan... prenez garde à ne pas vous y noyer. Enfin, je suis dotée d'une longue chevelure souplement ondulée, originairement d'un noir corbeau mais que je me plais à teinter selon mes extravagances du moment ; il sont donc actuellement couvert d'un intense violine tirant sur le prune, sauf une unique mèche assez épaisse sur le côté droit de mon visage à laquelle j'ai laissé sa couleur d'origine – ne me demandez pas pourquoi, considérez cela comme un des nombreux mystères de la Vie. Mon style vestimentaire n'a quant à lui rien de bien particulier ; j'aime les hauts amples dissimulant ma faible corpulence, avec de préférence de larges décolletés et dénudant l'une ou l'autre de mes épaules, des dos-nus, des découpes sur les manches, dans le dos... Des couleurs sombres comme le bleu-marine, le violet ou encore le noir, simple, sobre – je ne compte pas sur mes vêtements pour attirer l'attention, ma personne le fait déjà très bien toute seule. Pour le bas, je suis définitivement adepte des pantalons en cuir noir, ainsi que de mes bottes noires à talons-hauts compensés – il m'arrive en de rares occasions de porter des jeans, quant aux robes, jupes et autres froufrous stupides... Est-il utile que je vous précise ce que j'en pense ?...

Caractère : Quoi, faut en plus s'auto-psychanalyser en live ?... *soupir* Très bien, puisqu'il le faut... Vous l'aurez compris, selon l'expression vulgaire de la plèbe, on pourrait dire que « je ne me prend pas pour de la m*rde ». Je sais qui je suis et ce que je vaux, les inutiles et les faibles n'ont pas leur place auprès de moi – la loi du plus fort, vous connaissez ?... C'est la seule que j'applique. J'ai beau avoir une santé relativement fragile, ne vous fiez pas à mon air maladif ou il vous en cuira, le châtiment le plus doux que vous pourriez en retirer serait un bref coup d'œil vous signifiant tout le mépris que j'aurais à votre égard, et les traces de cernes que je m'applique à dissimuler de mon mieux sous mes yeux en amande ne diminuent en rien le pouvoir foudroyant de mes iris couleur des cieux. Comprenez bien : je ne recherche aucun liens affectifs, les seules personnes auxquelles je pourrais éventuellement me lier seraient par intérêt pour acquérir un quelconque pouvoir ou que sais-je encore, bref, si je m'intéresse à vous ne vous prenez pas pour un quelconque élu : j'obtiendrais de vous ce que je désire et je n'aurais plus qu'à passer à quelqu'un d'autre.

Clan : Quelle question... Daymons bien sûr.

Première spécialisation : Le Feu.

Deuxième spécialisation : Les Ténèbres.

Troisième spécialisation : La Terre.

Ginx : On verra bien le moment venu.

Estremoz/Staï : … Vous me voyez m'encombrer d'un toutou de compagnie ?... Mon Staï est une opale de feu de la taille d'une phalange, ronde et montée sur un pendentif d'or jaune – je la porte autour du cou en permanence sur une fine chaîne en or.

Spoiler:

Histoire : Ah tient, je me demandais après tout ça quand est-ce qu'on allait me demander de raconter ma vie... Allez, vous avez du bol, sentant le truc venir j'ai eu le temps de me préparer mentalement, alors puisqu'il le faut je vais vous déballer tout ça... Née au sein du clan Daymons quelque part en Estonie, on m'a appris dès ma plus tendre enfance la chose que les Daymons savent le mieux faire par-dessus tout : haïr les Célestes et les Nephilims. Enfant du milieu d'une illustre famille de guerriers Daymons, j'avais un grand frère, Sirius, et une petite sœur... et ma vie fut dès le commencement un combat de tous les instants. De santé fragile et de constitution peu robuste, j'étais une véritable déception pour ma famille, et en particulier pour ma mère – en effet, lorsqu'on voyait mon frère, grand, fin, athlétique, fort, souple, rapide... et si séduisant avec ses cheveux noirs mi-longs et ses iris couleur d'or fondu... - et moi, pauvre petite créature faible et malade qui laissait bien peu d'espoir quant à son potentiel avenir guerrier, mon père prenait un malin plaisir à demander à ma mère comment avait-elle pu engendrer quelque « chose » comme moi, ce qui avait tendance à l'exaspérer profondément, elle qui ne s'estimait en rien responsable de mon état. Mais elle trouva quand même, malgré les moqueries de mon père, le courage de me maintenir en vie et de m'élever jusqu'à ce que ma santé se stabilise grâce à la seule personne qui manifestait un semblant d'affection à mon égard : mon propre frère, Sirius. A la stupéfaction générale, lui si fort et si parfait qui aurait du me mépriser manifestait au contraire un véritable amour fraternel et semblait être celui m'appréciant le plus dans mon entourage. Dès mon plus jeune age, alors que mon père refusait d'engager pour moi un maître qui aurait fait de moi une guerrière accomplie, Sirius s'employait à m'apprendre le combat au corps à corps et le maniement d'armes diverses. Bien qu'il fusse réprimandé à de nombreuse reprises, accusé de « perdre son temps avec moi », et même parfois puni pour m'avoir accordé plus d'attention qu'à ses devoirs de guerriers, il ne cessait de m'enseigner l'art du combat, si bien qu'en définitive, et au grand désarroi de nos parents, il devint véritablement mon maître, m'aidant à endurcir mon corps si fragile, développant au maximum d'autres atouts que ma force physique dont je manquais cruellement, misant plutôt sur ma rapidité et surtout sur mon incroyable souplesse pour m'aider à me hisser à son niveau. Il m'aida également à me forger un mental d'acier ; il me débarrassa de mes complexes sur ma faiblesse corporelle, me libéra de ma honte de ne pas être aussi parfaite que lui, m'appris à faire fi des moqueries et autres bassesses que les autres Daymons pouvaient m'adresser, eux qui estimaient que je n'avais pas ma place parmi les guerriers. Ce fut dur, long et laborieux, mon corps et ma santé plaçant sans cesse de nouveaux obstacles à ma formation de guerrière, et pourtant il réussi l'exploit de faire de moi une redoutable tueuse, au même niveau que tous les autres guerriers nés pour le combat. Je me rappelle encore d'une phrase qu'il m'avait dite peu de temps après que j'ai enfin révélé mon pouvoir, alors que je n'y croyais plus et que je le remerciais encore : « tu n'as pas à me remercier, tout ce que tu es, tu ne le doit qu'à toi, je t'ai juste un peu aidé à sortir de ton cocon ; j'ai fait d'une chenille un papillon ». Mais c'était faux, bien sûr – j'ai pour lui une reconnaissance éternelle, car sans lui jamais je ne me serais changée en papillon. Et on en arrive donc à la partie que j'aurais préféré passer sous silence... Ça c'est passé l'hiver de mes 17 ans. Sirius en avait 25, notre jeune sœur en avait 15. Nos ennemis de toujours étaient comme pour tous les Daymons les Célestes et les Nephilims, mais cette nuit là, c'est une horde de Hunters, apparemment à leur propre compte, qui attaqua notre demeure. Cette nuit là, pris au dépourvu et submergé par le nombre, seuls quelques messagers avaient eu le temps de quitter la maison pour aller prévenir les familles de Daymons les plus proches, et nous attendions l'arrivée de renforts avec beaucoup de hâte, nous battant, mon père, ma mère, mon frère, ma sœur et moi en attendant que l'on vienne nous prêter main forte. Cette nuit là, notre mère tomba au combat, notre père fut gravement blessé, et le pire de tout ; juste avant de se retirer alors que les renforts arrivaient, les Hunters firent mon frère prisonnier et l'emmenèrent avec eux. Au petit matin, alors que l'incendie ravageant notre demeure avait été maitrisé et que le combat était définitivement terminé, les Daymons déclarèrent Sirius perdu – mais moi, je n'avais pas dit mon dernier mot – je n'allais pas les laisser enterrer mon frère si facilement. J'avais donc suivis la piste des Hunters et j'avais trouvé leur planque, à ma grande surprise, assez facilement – eu qui venaient de mener un raid assez dévastateur dans nos rangs ne s'attendaient pas à être pourchassés de si tôt, et ils avaient abaissé leur garde. Je n'étais pas plus bouleversée que ça par la perte de ma mère, elle qui ne m'avait jamais aimé, en revanche l'état dans lequel je retrouvais mon frère souleva en moi la rage d'un incendie de haine dont les braise hantent encore mon âme aujourd'hui. J'ignore encore ce qu'ils avaient cherché à lui arracher comme renseignements, le fait est que ça devait être important – torturé à mort, ils étaient sur le point de l'achever lorsque j'intervins. Je cru bien que mon imprudence allait nous coûter la vie à tous les deux – mais c'était sans compter sur la force que m'offrit ma haine cette nuit là. Grièvement blessée, encombrée par le corps de mon frère inconscient, je réussis pourtant par je ne sais quel miracle à échapper aux Hunters, pour être immédiatement secourue par mon clan – ma sœur avait remarqué ma disparition et s'inquiétait quand même un minimum pour moi. Quelle ne fut pas leur joie lorsqu'il remarquèrent que je ramenais mon frère avec moi, vivant de surcroit ! Mais leur joie, ainsi que la mienne, fut de courte durée. En effet, il apparu rapidement que les blessures de mon frère n'étaient pas uniquement... physiques. Après cette nuit là, il ne fut plus jamais le même – on aurait même presque pu dire qu'il était effectivement mort. Conservant de lourde séquelles de ses blessures, il fut cloué à un fauteuil roulant – amorphe, le regard vide, je devins la seule personne à qui il consentit à adresser quelques mots incompréhensibles une fois tous les 6 mois, environ. Et encore. C'est à ce moment là que je tournais définitivement le dos à la guerre opposant notre clan à celui des Célestes et des Nephilims pour vouer une haine viscérale aux Hunters. Les Daymons ne se formalisèrent pas de mon désintérêt pour leur cause, je n'avais de toute façon jamais été pour eux un élément important du clan – et ils avaient de toute façon ma jeune sœur, le prodige bis, pour se consoler de la perte de mon frère et de mon départ, puisqu'alors que je décidais de consacrer ma vie à la traque des Hunters, je partais également vivre à Eisblum.

Autres : Je ne supporte pas de rester les mains nues, je porte donc en permanence des gants, cuir noir pour l'hiver et je tolère la dentelle noire pour l'été et ce malgré la chaleur - je porte aussi presque toujours mon long manteau rouge vif. Pour les derniers détails inintéressant mais qui semblent vous tenir à cœur, j'ai également un piercing à la langue, et enfin je vous précise quand même la forme de ma marque du sang : des ailes de papillon couvrant le bas de mon dos, mes fesses et le dos de mes cuisses, la pointe de la première paire d'ailes remontant sur les hanches, la pointe de la paire d'ailes inférieures descendant dans le creux de mes genoux.

Spoiler:

Qu'elle est mignonne....Je sens que je vais bien m'amuser *sourire sadique*

J'ai hâte de lire ton histoire et que tu sois validée

MDR j'te prend au mot x)
Et merci, je suis en train de l'écrire mais comme vous le constaterez rapidement, j'ai une sale tendance au pavé donc... c'est long x)

tout me semble nickel ^^
Je te valide ^^

Bienvenue et amuse toi bien!!!!

(je sens que ca va être interessant ^^)
tiens je suis curieuse..quel métier ou comment occupes tu ton temps lorsque tu n'es pas à la chasse aux hunters...?
(y a comme une ironie à dire la chasse aux hunters...XDDDDDD)

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ^o^
Et oui, je sens que je vais bien m'amuser avec ma dodo XDXD (si elle m'entendait U_u") XD
Et tient ça j'y avais pas pensé U_u J'vais réfléchir à un métier pour ma dodo ^o^
Et naaaaaaan, tu trouves ? x)

^^
XDDDD tu me tiendras au courant?
Et non siiiii peuuuuuuuuu Uu

Oh..encore un daymon?
Tant mieux si tu n'as rien contre les célestes. ^^

Bienvenue!

Pas de prob', jle rajouterais dans ma pres' comme ça au moins ^^
Et comme tu dis, siiiii peuuuuuuuuu U_u

Et non Elda, on pourra être "amies"... si dodo trouve une bonne raison pour XDXDXD
Merci ^o^

Oh une daymonne....Coool ^^...sauf que c'va pas l'faire =_= mon patron est un hunter pro-daymon....bah faire ta connaissance s'ra intéressant quand même

Bienvenue Nymphadora

Ah ben ça sera comique XDXD Et je n'en doute pas Wink

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiii ^^

Personne n'aiment pas mon Kurz Uu...bon Grey et Aïonn ne comptent pas ce sont de gros jaloux c'est tout. XD

MDR on verra si je l'aime... mais si je l'aime pas, je pense pas que ce sera par jalousie XDXDXD

woooo une nouvelle!!

Halllujah mes frères!!

\o/

Bon ben....je suis un homme de peu de mots:

Amuse toi bien et on se fait un post quand tu veux Wink

Alleluia, rien que ça ? XDXD
Eh ben merci écoute, j'y compte bien, et à quand je voudrais alors, c'est à dire pas longtemps XDXDXD

Welcoooomeuh!!!!! ^^

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ^o^